VIDÉOS POUR LEEROY : enregistrements audio et vidéos pour démentir les mensonges des services sociaux qui ont arraché le petit Leeroy à sa maman Sylvie Heffinger grâce à des rapports truqués qui ont trompé la Justice.

VIDÉOS POUR LEEROY : enregistrements audio et vidéos pour démentir les mensonges des services sociaux qui ont arraché le petit Leeroy à sa maman Sylvie Heffinger grâce à des rapports truqués qui ont trompé la Justice.( Site rédigé par Sylvie Heffinger avec sa parole et avec son sang, et par Jean-Michel Bessou avec sa plume.)

SOMMAIRE :

– Sylvie Heffinger s’adresse à vous.

– Un tract.

– Les enregistrements audio et les vidéos.

– Une photo truquée communiquée par le Département de la Gironde.

– La Cagnotte Leetchi.

– Contacts, actions : un combat spirituel autour du respect de la dignité humaine.

– La chanson pour Leeroy.

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SYLVIE HEFFINGER S’ADRESSE À VOUS :

 » Bonjour à tous !

Je vous remercie d’être venus sur ce petit site, probablement après avoir lu un tract par lequel je fais connaître l’injustice gravissime dont mon petit garçon Leeroy et moi sommes victimes.

Le 30 mai 2018, Leeroy a été raflé à la crèche administrative de Bordeaux, par des travailleurs sociaux munis d’une ordonnance de placement provisoire signée par une juge, et depuis cela il est séquestré et maltraité dans les lieux inconnus : la juge des enfants avait été trompée par les rapports truqués que lui avaient remis une association et des travailleurs sociaux, ainsi que par une psychiatre.

Tous, ils avaient commis des FAUX pour m’accabler par des dénonciations calomnieuses, et les services sociaux avaient frauduleusement écarté de leur rapport les médecins, parce que le corps médical m’était et me reste toujours favorable.

Curieusement, les auteurs de ces FAUX rapports se contredisaient entre eux : la psychiatre reconnaissait que je « maîtrise et mon enfant avec patience », que je suis « calme et sans trouble du comportement », tandis que les travailleurs sociaux et une association disent exactement le contraire ! – ils ont prétendu que mon petit enfant était « en détresse » et « en danger » avec moi, ce qui est formellement démenti par le corps médical…

Mon enfant était d’ailleurs parfaitement bien soigné, ce qui n’est plus le cas actuellement entre les mains de ses gardiens : un document médical atteste qu’il était constamment malade peu avant l’hiver 2018-2019.

Mon enfant m’a été arraché alors qu’il était heureux avec moi, mais les services sociaux et une association avaient beaucoup d’ARGENT à gagner en le plaçant abusivement : ils ont inventé une rumeur selon laquelle l’enfant aurait été « en danger » voire maltraité avec moi, et je n’ai pas eu la possibilité de les contredire.

Pourquoi ? Parce que les procédures d’assistance éducative sont truquées, de telle sorte que les parents accusés à tort ne puissent pas se défendre car ils n’ont pas accès à leur dossier, et ne connaissent pas toujours les noms de tous leurs accusateurs !

Parmi mes accusateurs, se trouvent notamment le CONSEIL DÉPARTEMENTAL qui est responsable des violences y compris sexuelles subies par les enfants dans le foyer d’Eysines, et une association qui a été sanctionnée par la préfecture de la Gironde à cause de violences et d’injures antisémites subies par les enfants !

C’est à « ça« , que les juges les enfants ont fait confiance pour garder mon petit garçon !

C’est à ce genre de gens que les magistrats ont donné raison, plutôt qu’à une mère de famille respectable, femme handicapée mais anciennement Aide à Domicile diplômée de la Croix-Rouge, et mère d’un policier intègre qui fait un effort sincère pour arracher la jeunesse de Seine-Saint-Denis à la délinquance – car j’ai transmis de bonnes valeurs à cet enfant que j’ai élevé.

Les fonctionnaires se tiennent les coudes pour maintenir l’omerta, et les administrations qui gravitent autour de Leeroy multiplient les agissements criminels depuis le début de l’affaire, en toute impunité !

Malheureusement ce sont des dizaines de milliers de familles qui subissent des choses analogues aujourd’hui en France, dans le cadre d’un véritable TRAFIC D’ENFANTS COMMIS PAR L’AIDE SOCIALE À L’ENFANCE, et dénoncé par la Cour des comptes en 2009.

C’est une véritable TRAITE D’ÊTRES HUMAINS : l’expression vient de Philippe Séguin, et j’invite ironiquement l’ASE à déposer une plainte contre lui pour « diffamation »…

Ce crime contre l’humanité se fait avec la complicité d’administrations qui ne sont plus au service du bien public – mais qui par contre vivent grassement avec l’argent du contribuable…

Toutes les familles sont aujourd’hui en danger : je ne me bats pas que pour mon enfant, mais pour toutes les familles injustement frappées par les PLACEMENTS ABUSIFS.

Mon affaire est exposée sur divers sites, dont le plus accessible est leeroyadisparu.wordpress.com .

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UN TRACT : À afficher, à distribuer, ou à publier sur internet.

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LES ENREGISTREMENTS AUDIO ET LES VIDÉOS.Voici quelques ENREGISTREMENTS AUDIO ou VIDÉO vite consultés, qui vous prouveront que le mensonge n’est pas de mon côté, mais du côté de ceux qui vivent grassement d’un commerce où les enfants sont considérés comme une simple marchandise.

SOMMAIRE DES ENREGISTREMENTS AUDIO OU VIDÉO :

– Une vidéo de Leeroy avec sa sœur Stacy et moi en 2017.

– Une vidéo de Leeroy avec moi à Talence quelques jours avant qu’il me soit retiré.

– Deux enregistrements audio réalisés à la crèche, où l’on entend la puéricultrice principale du petit enfant parler de son comportement à monsieur Jean-Michel Bessou.

– Un enregistrement audio d’une conversation téléphonique entre la directrice de la crèche et moi.

– Un enregistrement audio de ma conversation téléphonique avec madame Lalanne de l’ASE de Bordeaux le 2 janvier 2019.

– Un enregistrement audio de ma conversation téléphonique avec l’association OREAG le 4 janvier 2019.

– Un enregistrement audio d’une conversation téléphonique avec mon assistante sociale à Bordeaux, peu avant que Leeroy commence à fréquenter la crèche en novembre 2017.

– Une vidéo de Leeroy dansant sur une chanson d’Édith Piaf.

– Une vidéo de Leeroy tout bébé, où sa maman lui donne à manger avec une cuillère en argent.

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VIDÉO : LEEROY S’AMUSE AVEC SA GRANDE SŒUR STACY. (On entend leur maman parler…)

(Ci-dessus, Leeroy avec sa grande sœur Stacy et leur maman. On voit Stacy et on m’entend la maman sur la vidéo. Il y a deux liens) :
https://1drv.ms/v/s!AuSJmqmCGJiKh01x586AkkkjfXGo

https://app.box.com/s/t87b6rci6tli06iwm65hx3qxol3dz6fu

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UNE VIDÉO DE LEEROY JOUANT TRANQUILLEMENT À TALENCE :SA MAMAN LE FÉLICITE CAR IL A RÉUSSI À MAÎTRISER SON JEU DE CONSTRUCTION…

(Ci-dessous, Vidéo : Leeroy en train de jouer tranquillement, quelques jours avant d’être raflé à la crèche. On entend les encouragements de sa maman. Au même moment, les services sociaux de Bordeaux inventaient une rumeur selon laquelle l’enfant était « détresse » auprès de sa mère…)
Leeroy à Talence :
https://1drv.ms/v/s!AuSJmqmCGJiKiAK4Y7i8oXnm9ydp

https://app.box.com/s/k9kmgwnzcbig0s8l8papjwepod1waaqq

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LES ENREGISTREMENTS AUDIO À LA CHÈCHE

(Ci-dessus Leeroy avec sa maman à la crèche de la cité administrative de Bordeaux. On remarque la joie explosive de l’enfant, très loin des mensonges des services sociaux !…)

La juge des enfants avait projeté de prononcer un jugement en juin 2018, pour décider si Sylvie Heffinger conserverait ou. non la garde de son petit garçon Leeroy.
Normalement c’était acquis : tous les médecins étaient témoins que l’enfant était bien traité par sa maman – mais Sylvie ne savait pas encore que les travailleurs sociaux écarteraient frauduleusement les médecins de leurs rapports remis à la juge…

L’avis de la crèche compterait certainement lui aussi , dans la décision de la juge : vu les comptes-rendus systématiques et positifs que faisait la puéricultrice à Sylvie au sujet du bon comportement de Leeroy, il semblait certain que l’avis de la crèche serait favorable.

Toutefois Jean-Michel Bessou, un ami de confiance de Sylvie, crut déceler un jour une réticence un peu bizarre du côté de la directrice, et une expression inattendue dans son regard : les travailleurs sociaux étaient-ils en train de l’influencer ?

« Non », pensa-t-il « Sylvie la considère quasiment comme une amie, je concevrais difficilement que la directrice se retourne contre elle, elle a d’ailleurs l’air d’aimer beaucoup les enfants. La directrice a le droit d’éprouver de la lassitude parfois, elle fait un métier difficile, avec de grandes responsabilités…

Toutefois, mieux vaut conserver des preuves… »

Et Jean-Michel fit quelques enregistrements audio, à tout hasard, en posant les bonnes questions aux puéricultrices qui s’occupaient de Leeroy – en général il s’agissait d’Annick, une jeune femme spontanée, d’une grande cordialité…

En cliquant ci-dessous, vous pourrez écouter un enregistrement AUDIO où Jean-Michel Bessou interroge Annick, la puéricultrice de Leeroy à sa crèche bordelaise : ce document est un démenti cinglant aux mensonges des services sociaux, tels que l’on peut les lire par exemple dans les comptes-rendus d’audience…

Leeroy à la crèche, début 2018 (février ?) :
https://1drv.ms/u/s!AuSJmqmCGJiKh1DFU7ZM7kdt_vyI

https://app.box.com/s/protn0bd8rjq4fhccu4ek6es31vi6u8s

Autre enregistrement à la crèche :
https://1drv.ms/u/s!AuSJmqmCGJiKiAZMSORM3g4q7Y4k

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CONVERSATION TÉLÉPHONIQUE ENTRE SYLVIE HEFFINGER ET LA DIRECTRICE DE LA CRÈCHE : ILLUSIONS PERDUES…

Les deux enregistrement audio précédents vous auront confirmé que Leeroy était un petit garçon épanoui : à aucun moment sa puéricultrice Annick ne fait état d’une quelconque anomalie.

La directrice confirmait les progrès de l’enfant.

D’un tempérament joyeux même s’il pleurait parfois par caprice, d’un caractère affectueux et très attachant, Leeroy était pourtant un enfant difficile parce qu’il était hyperactif – comme tous ses frères et sœurs à son âge.
Dans les premiers temps Sylvie avait donc craint qu’il s’adapte difficilement à la socialisation de la crèche : la directrice lui avait promis de lui faire remonter le moindre problème, afin que la maman puisse en faire part au pédiatre.

Mais jean-michel Bessou eut un vague doute sur sa sincérité, et il décida de conserver des preuves enregistrées de ce qui se passait à la crèche.

Bien lui en prit ! Car aussitôt après La rafle de Leeroy, le langage de la directrice changea complètement ! Elle se mettait à parler un peu comme les travailleurs sociaux…

Dans la vidéo qui fut réalisée 34 jours après la rafle, elle dit à Sylvie « j’avais fait remonter » – comprenez : « j’avais fait remonter CE QUI N’ALLAIT PAS » chez Leeroy.

Or tout allait de mieux en mieux, et même plutôt bien chez Leeroy, petit garçon assez vif mais qui commençait à sortir de son agitation chronique pour se poser : la directrice le reconnaissait elle-même au moment où Sylvie amena son petit garçon à la crèche le 30 mai 2018 au matin.

La directrice parut heureuse de le voir, et d’ailleurs elle avait beaucoup insisté pour qu’il soit présent ce jour-là… (Au fait, pourquoi ?…)

Nous cherchons actuellement un enregistrement qui a pu en être fait…

Mais deux heures après, Sylvie reçut un coup de téléphone d’un responsable de l’association, lui apprenant que son petit enfant venait d’être placé.

Pourquoi la directrice n’a-t-elle pas téléphoné à la mère au moment où les travailleurs sociaux sont venus ?
Était-ce pour éviter une polémique à l’intérieur de la crèche ?

En effet, l’ordonnance de placement provisoire exhibée par les services sociaux et signée par la juge, était assez discutable quant à sa forme : pas de tampon, pas d’avis du procureur, pas de nom de greffier…

Quant à la teneur, il y était question d’une « détresse » de l’enfant avec sa mère, ce qui était absolument faux : la directrice a-t-elle eu peur d’avoir à mentir devant tout son personnel pour accréditer cette thèse absurde ?

Ou au contraire, a-t-elle craint de devoir se rétracter, comme cela lui était encore possible puisque il devait y avoir une nouvelle audience judiciaire, contradictoire celle-là ?

Vers la minute 3 de l’enregistrement qui va suivre, la directrice de la crèche dit à Sylvie Heffinger qu’elle n’a rien de plus à ajouter, ni à lui dire.

Nous croyons au contraire qu’elle a beaucoup de choses à dire, quitte à se déjuger : tout le monde peut se tromper, n’est-ce pas ? « Errare humanum est » (mais les anciens ajoutaient : « perseverare diabolicum »…)

Tôt ou tard, la directrice sera confrontée avec les deux enregistrements précédents : il y a gros à parier que cette chère madame exprimera ses regrets d’avoir été un petit peu trop influençable…
https://youtu.be/Qn-921nKTsg

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LEEROY : UN PETIT GARÇON DÉTENU, MAIS PAR PERSONNE !

Conversation du 2 janvier 2019 entre Sylvie Heffinger et une responsable de l’ASE de Bordeaux, au sujet du « placement » du petit Leeroy.
Vers la minute 4, Sylvie Heffinger évoque l’ASSOCIATION OREAG, qu’elle croit être le service gardien de l’enfant : c’est en effet ce qu’avaient décidé les jugements du 13 juin et du 10 octobre 2018.La responsable de l’ASE ne lui oppose aucun démenti. Il ne s’agit pas d’un « oubli », car la fonctionnaire aurait pu rectifier cela au cours des nombreux appels que lui adressait Sylvie Heffinger : il s’agit d’un MENSONGE PAR OMISSION.
Le Département de la Gironde a QUELQUE CHOSE À CACHER au sujet de la détention de Leeroy.

https://1drv.ms/u/s!AuSJmqmCGJiKhztzbFs5b7rq2Y3R

Or le 4 janvier, seulement deux jours après, l’association OREAG à qui téléphonait Sylvie Heffinger, démentait catégoriquement avoir la garde du petit garçon ! :

https://1drv.ms/v/s!AuSJmqmCGJiKhzoWAcIDxKp6apyU

https://photos.app.goo.gl/X9PSX89RbNauhzUe8

Sylvie s’inquiète, et parle alors très logiquement de son enfant qui a DISPARU : son interlocuteur lui répond « je ne vous suivrai pas dans ces propos » – on sent qu’il se retient de dire « dans ces délires ».

Leeroy a bien DISPARU, et la réaction d’OREAG, celle du Département, celle de la police, celle de la mairie et même celle des magistrats bordelais est toujours la même : l’indifférence voire le mépris envers une maman qu’ils affectent de croire folle parce qu’ils ne veulent pas déranger des gens puissants qui font la loi à Bordeaux ! – et pour cause !…

Or le problème, c’est que l’expertise psychiatrique bordelaise qui attribuait un « délire paranoïaque » à Sylvie Heffinger était, ELLE, un délire évident, un tissu de contradictions – et surtout c’était un FAUX !

Du coup, on se retourne vers tous ces gens indignes de leur charge, et l’on se demande quelle HAINE les pousse ainsi à accabler une maman qui ne leur a rien fait, et à approuver qu’elle soit séparée de son enfant.

Il est des gens qui de par leur métier, sont censés être dignes de la considération publique et avoir nécessairement raison : si l’on admet que voler un enfant à sa mère est un acte criminel, et que le mépris arbitraire envers une femme estimable est la preuve d’un dérangement mental, il est incontestable que nous avons affaire à des fous.

Il est des formes de folies dont les porteurs doivent être considérés comme des victimes.
Mais ceux dont la folie consiste à HAÏR les personnes vulnérables et à se croire supérieurs au reste des humains, ceux-là sont incontestablement COUPABLES – et FOUS, même si l’intérêt matériel qu’ils recherchent en maintenant l’omerta sur des crimes, leur donne l’illusion d’être doués de raison.

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Lien vers une CONVERSATION TÉLÉPHONIQUE ENTRE SYLVIE HEFFINGER ET SON ASSISTANTE SOCIALE, peu avant l’entrée de Leeroy en crèche en novembre 2017.

https://1drv.ms/u/s!AuSJmqmCGJiKiiTWQVn_LobZOXQH

Cette conversation est d’une extrême banalité : seule l’AFFAIRE CRIMINELLE qui la suivra quelques mois après, lui donnera une importance particulière.

Parcourons l’enregistrement. Nous apprenons par exemple :

– 0 minute 49 seconde et après : que Sylvie Heffinger est attentive à la santé de son enfant.
– 1 minute 46 secondes… : que c’est bien l’assistante sociale à laquelle parle Sylvie, qui avait rempli ses demandes de Logement Social.
– 4 minutes 15 secondes… : que Sylvie souhaitait que Leeroy fréquente davantage la crèche, qu’il n’était prévu.
– 4 minutes 38 secondes… : que Sylvie Heffinger est attachée au respect des « consignes » (règles de bon comportement) par Leeroy.
– 5 minutes 13 secondes… : que le courant n’est pas passé entre le petit garçon et le pédiatre de la crèche (« Leeroy ne l’a pas « calculé »  » dit Sylvie Heffinger).
– 9 minutes 40 secondes… : que Sylvie estime avoir de bons rapports avec les services sociaux, et qu’elle espère que cela fera bon effet sur la juge des enfants.
– 10 minutes 5 secondes… : que les services sociaux semblent reconnaître à Sylvie le droit de choisir le pédiatre de Leeroy.

La suite, on la connaît : les Services Sociaux de Bordeaux ont trahi la confiance de Sylvie Heffinger en ne lui apportant pas l’aide promise, et faisant sur elle des rapports aussi accablants qu’injustifiés.

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(Ici, Leeroy dansant sur une chanson d’Édith Piaf.)
https://youtu.be/ZmktNSeB7NQ

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(Ici, le bébé Leeroy et sa cuillère en argent.)
https://youtu.be/-6YE10ZYvxU

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DEUX PHOTOS TRUQUÉES COMMUNIQUÉES PAR LE DÉPARTEMENT DE LA GIRONDE.

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(Extrait d’une lettre envoyée à un magistrat.)

ANALYSE DE DEUX PHOTOS DE LEEROY, TRUQUÉES, ENVOYÉES PAR LE DÉPARTEMENT DE LA GIRONDE.

Ce sont les PIÈCES JOINTES N°30 et N° 32 du présent dossier.

Ces photos m’ont été envoyées avec les notes sur Leeroy, datées respectivement du 14 mai et du 18 juin 2019, depuis l’adresse dpef-bur5@gironde.fr appartenant au Département de la Gironde.

Ces photos ont été RETOUCHÉES : l’intention de TROMPER est assez probable pour la première photo, incontestable pour la deuxième.

Leeroy n’est sans doute pas réellement là où il paraît se trouver, dans la nature : il semblerait avoir été intégré très professionnellement à un DÉCOR DE FOND POUR PHOTOGRAPHES, avant un ombrage par un logiciel de haute qualité.

1° PHOTO DE LEEROY EN GRIS : voir PIÈCE JOINTE N° 30 ( la photo accompagnait la note du 14 mai 2019) :

La PIÈCE JOINTE N°31 présente l’analyse des métadonnées par un logiciel qui conclut que la photo a été retouchée par Photoshop : j’admets que cette retouche ne saute pas aux yeux de quelqu’un qui ne connaît pas Leeroy.

Je n’ai pas vraiment reconnu les proportions de mon petit garçon, exagérément longiligne sur la photo, au point qu’on lui attribuerait l’âge de six ans.

Certes je l’avais trouvé un peu maigre lorsque je l’ai rencontré le 18 avril 2019 : il avait un peu grandi, mais sans guère prendre de poids.
Selon madame Lalanne, du Département, il aurait pris un kilo en un an, et gagné une douzaine de centimètres : je n’ai pas pu évaluer sa taille avec précision car au Point Rencontre une des deux médiatrices le ramenait à elle.

Le fort ensoleillement venant de l’arrière crée un fort contraste dans le cou, avec un effet de contrejour : on ne comprend pas comment les ombres du visage sont si peu marquées, alors que l’absence de reflet dans la prunelle exclut l’usage d’un flash.
Le bord du lobe de l’oreille gauche aurait dû être bordé d’une ligne de lumière, et le bord gauche du visage aussi, comme l’est le cou.

L’explication probable serait que la photo a été prise en studio, avec des éclairages indirects.
Si c’est le cas, si les retouches ne sont pas d’ordre artistique seulement, il y a une volonté de me tromper, de la part du Département de la Gironde.

Il n’est pas exclu que le visage de Leeroy ait été reporté sur un autre corps, par un photographe professionnel qui se sera instinctivement conformé aux canons de la mode en choisissant un corps plus longiligne posant dans une attitude de top model.

L’agitation naturelle de Leeroy ne se calmait guère qu’avec moi, et il est difficile de concevoir qu’il ait pu poser aussi tranquillement, sur commande.

Mais c’est dans la deuxième photo, que les trucages sont absolument certains.

2° PHOTO DE LEEROY EN BLEU : c’est la PIÈCE JOINTE N° 32 (la photo accompagnait la note du 18 juin 2019)

Sur la photo de Leeroy en bleu, le visage n’est pas naturel : le SOURIRE a été retouché.
L’œil est choqué par l’artificialité de la photo : je vais tenter d’expliquer rationnellement cette perception intuitive d’une image anormale.

Le bas du visage est très vivement éclairé, mais c’est curieux : cet éclairage n’est pas du tout celui, plus modéré, du haut du visage et du reste du corps.

Dans le contexte forestier suggéré par le tas de bois, Leeroy serait dans une clairière, et le trait foncé en haut et à droite serait un tronc d’arbre flouté par la mise au point : l’éclairage de cette clairière est moindre que celui du visage de Leeroy, mais il reste excellent, et l’arbre projetterait une ombre si la lumière n’était pas diffuse (probablement à cause d’une atmosphère un peu nuageuse).

Un flash pourrait-il expliquer l’éclairage excessif du bas du visage de Leeroy ?
A priori, oui… mais pourquoi ce flash, dans une clairière bien éclairée ? Et pourquoi le front de Leeroy reste-t-il mat ?

Quand on zoome fortement sur l’image pour observer le REFLET DANS LES YEUX de Leeroy, ce reflet n’est pas celui d’un flash : il pourrait correspondre à la trouée que la lumière du ciel ferait en plusieurs endroits, à travers une forêt assombrie par des arbres bien feuillus.
Or c’est absurde, puisque Le fond nous montre une clairière bien à découvert et non pas une forêt sombre : l’image de Leeroy a-t-elle été extraire d’une autre photo ?

Une autre hypothèse, c’est que le reflet dans les yeux de Leeroy serait celui de plusieurs projecteurs ressortant dans l’obscurité d’un STUDIO : le fond visible de l’image serait donc encore un DÉCOR.

Le SOURIRE a été retouché, ce que montre l’arrondi exagéré de la lèvre supérieure : de simples applications de smartphone le font d’un seul clic.

Mais du coup le logiciel, qui avait identifié le menton, l’a abaissé pour permettre l’ouverture des lèvres : le logiciel n’a pas pu découper le menton assez finement pour qu’on ne voie pas la rupture du dégradé de teintes dans la ligne inférieure du menton. On croirait que cela a été retouché au pinceau.

L’éclairage du visage vient d’un peu plus haut, et de l’avant gauche si l’on se met à la place de Leeroy : il fait briller l’aile gauche du nez, le lobe de l’oreille gauche et la gencive de deux incisives supérieures du côté gauche.
Pourtant le cou ne porte pas d’ombre du côté droit de Leeroy, et l’éclairage de la main semble venir de son côté droit (toujours du point de vue de Leeroy.)

En STUDIO, cela pourrait s’expliquer : plusieurs projecteurs, plusieurs lumières indirectes, peuvent donner de tels effets.

Le tas de bois devant lequel Leeroy est censé se trouver, est éclairé par une lumière plus latérale que l’est son visage. Cette lumière vient du côté gauche de Leeroy, et crée une ombre du côté opposé sur les branches, mais n’a aucun effet sur le visage de Leeroy ! : pourquoi ?…

Et comment se fait-il que la grosse branche sur laquelle Leeroy pose sa main, ne soit pas éclairée depuis le même côté que le tas de bois ?
C’est une branche de bouleau, comme le reste du tas de bois, mais elle a pu être extraite d’une partie du décor absente de la photo, et placée sous la main pour améliorer l’illusion de la présence de Leeroy dans une clairière.

Une technique comparable est utilisée par des PHOTOGRAPHES PROFESSIONNELS EN STUDIO : par exemple, la personne est photographiée devant une grande image qui montre un pont de bois, mais au premier plan la balustrade sur laquelle la personne pose ses mains est un élément bien réel choisi pour sa ressemblance avec la balustrade du pont.

La photo paraît étrange : l’éclairage excessif du bas du visage ne résulte donc pas d’un flash, c’est sans doute plutôt une conséquence secondaire de la retouche du sourire par un logiciel : le programme a recalculé l’emplacement de chaque point de part et d’autre de la bouche, et sans doute concentré davantage les pixels lumineux pour compenser une perte d’information qui aurait peut-être rendu le visage un peu flou..

Mais pourquoi le sourire a-il été exagéré sur la photo ?

Ne serait-ce pas pour dissimuler l’expression réelle d’un enfant qui n’est pas heureux entre les mains de ses séquestrateurs ?

Le Département de la Gironde qui s’obstine décidément à créer des FAUX, et il a recours au TRUCAGE car il ne peut pas produire une seule photo NATURELLE montrant mon petit garçon aussi heureux qu’il l’était avec moi : comparez avec les CINQ PHOTOS DE LEEROY AVEC MOI, constituant la PIÈCE JOINTE N° 33.

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LA CAGNOTTE LEETCHI :

(Ci-dessus, Sylvie Heffinger en train de distribuer des tracts : elle a aussi soutenu bien d’autres parents ! Certains tractages lui ont valu d’être condamnée pour « diffamation », mais des membres des forces de l’ordre lui ont dit officieusement qu’ils reconnaissaient le bien-fondé de son combat. Le combat contre les placements abusifs et contre les réseaux de pédophilie est d’abord un combat contre l’omerta, et contre la « version officielle » des faits criminels que tout parent et tout citoyen a le DROIT et le DEVOIR de dénoncer.)

Lien vers la CAGNOTTE LEETCHI, pour tous ceux qui veulent AIDER SYLVIE À RETROUVER SON PETIT ENFANT LEEROY que l’ASE lui a soustrait par la fraude :

https://www.leetchi.com/c/pour-lavenir-de-leeroy .

Cette cagnotte est employée afin de soutenir la cause du petit garçon Leeroy séquestré et maltraité, et plus généralement, la cause de l’enfance.

Des comptes rigoureux sont tenus, et il est facile de nous rencontrer et de vérifier que nous n’en faisons pas mauvais usage !

Il n’en va pas de même pour nos adversaires, qu’il s’agisse de l’Aide Sociale à l’Enfance qui accapare et détourne des subventions gigantesques volées aux contribuables, ou des « trolls » qui opèrent généralement sous des identités d’emprunt : ce sont des internautes malveillants, au langage fréquemment ordurier, et qui calomnient souvent les victimes ainsi que les activistes qui veulent rétablir le bon droit.

Le langage de certains trolls montre que ceux-là sont des fonctionnaires qui servent une administration corrompue : c’est très dommageable pour les fonctionnaires honnêtes qui restent l’écrasante majorité dans la plupart des administrations françaises.

Mais la fonction publique a des branches pourries qu’il va falloir scier !

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CONTACT, ACTIONS. UN COMBAT SPIRITUEL AUTOUR DU RESPECT DE LA DIGNITÉ HUMAINE.

On peut joindre Sylvie Heffinger àl’adresse email suivante : rootssoldjah@gmail.com .

La lutte contre les PLACEMENTS ABUSIFS et contre les RÉSEAUX PÉDOCRIMINELS concerne toute la population française aujourd’hui.Pourquoi ?Parce que les PLACEMENTS ABUSIFS correspondent à une DÉRIVE MAFIEUSE croissante de la partie corrompue de l’administration, ce qui est incompatible avec un pays de liberté et de Droits.

Les citoyens sont d’abord des êtres humains qui ont une dignité : quand les institutions cessent de servir le peuple pour devenir une pègre, le peuple a le droit de les juger, de les condamner, et de les remplacer par des hommes et des femmes intègres.

Parce que les RÉSEAUX PEDOCRIMINELS ne se limitent pas à quelques cercles de notables pervertis, mais sont en réalité une grande SECTE où se retrouvent des truands ignobles que la corruption a placés à des postes d’autorité. Ils méprisent le Peuple et se considèrent comme une « élite ».

Sur le plan politique, ces malfaiteurs sont favorisés par la finance internationale dont la puissance est supérieure à celle des états nationaux : les sectateurs de l’Argent-Roi ne peuvent dominer un pays que lorsque celui-ci a abandonné les valeurs morales qui lui permettraient de se relever.

C’est une tactique qui avait été déjà évoquée il y a bien longtemps par le général chinois Sun Tzu : – « Pour affaiblir l’ennemi, il faut d’abord l’amener à douter de ses dieux. »

En ce qui nous concerne, il s’agit de nous faire abandonner la Morale, cette sorte de « religion du respect humain » que les Païens concevaient déjà à un certain degré, mais que révéla dans toute sa perfection le Dieu unique qui dicta les Dix Commandements.

Pourquoi ces considérations religieuses que peut-être vous n’attendiez pas ? Parce que l’athéisme n’est au fond qu’une mode extrêmement récente dans l’histoire de la pensée humaine, et que cette pensée athée n’a été utilisée que pour rendre plus douloureuse encore l’oppression qui pèse sur l’homme. Quelles que soient les valeurs de leurs croyances, tous les peuples qui ont construit quelque chose de durable avaient l’intuition de la divinité.

Ceux qui croient au Dieu unique et à son Messie, ne croient pas aux divinités des Grecs.

Mais lorsque les Grecs pensaient que leur Dieu suprême recommandait la justice et l’hospitalité, il étaient proches de la vérité : un jour ils seraient parmi les premiers à la reconnaître.

L’apparition du nazisme dans l’Histoire, a révélé qu’il existe aussi une spiritualité inversée qui peut se déployer notamment sur le plan politique.

Il faut savoir que ce qui accable le monde actuellement, et qui tend à en faire une dictature unifiée où toutes les valeurs morales seront inversées, n’est rien d’autre qu’une résurgence du nazisme.

Pour combattre une telle horreur, pour renverser des forces maléfiques aussi gigantesques, la bonne volonté et le savoir ne suffisent pas : il faut du courage et de la foi.

Le parallélisme est frappant, entre certains aspects de la politique actuelle, et ce que le nazisme avait mis en œuvre :

La généralisation de la guerre pour acquérir des richesses.

Une dictature financière et industrielle appuyée par une puissante propagande médiatique.

Une utopie de pouvoir mondial.Une répression violente de toute opposition.

Un mépris de la spiritualité.Une renaissance de la magie sous d’autres formes.

Un avilissement de la dignité humaine, notamment en matière sexuelle.

Cela se traduit notamment par des jugements aberrants où des violeurs d’enfants sont libérés ;

par une société où des « droits sexuels » pour les enfants sont considérés comme une nécessité plus fondamentale que le fait de résoudre le problème du logement et de la pauvreté ;

par l’enseignement de l’éducation sexuelle à de jeunes enfants à l’école de l’Éducation Nationale ;

par la promiscuité voulue d’adolescents pervers avec des enfants très jeunes dans les lieux d’accueil de l’Aide Sociale à l’Enfance…

C’est pour des raisons de cet ordre qu’il y a des dizaines de milliers d’enfants placés abusivement en France, dont beaucoup subissent des violences sexuelles : le principal adversaire de Sylvie dans l’affaire Leeroy est le Conseil Départemental de la Gironde, responsable des violences commises envers des enfants dans le foyer d’Eysines (un reportage de FR3 a révélé ces violence au grand public en janvier 2019. Voir le site violencesaufoyerdeysines.wordpress.com ).

Toute la société française est en danger aujourd’hui, car le pouvoir veut multiplier les placements abusifs : COMMENT RÉSISTER ?

D’abord en prenant conscience de notre propre dignité, et en la mettant en pratique : respectons la parole donnée, respectons-nous nous-mêmes en étant fidèle en amour comme en amitié, respectons les autres en pratiquant la bienveillance et la générosité.

Exigeons que notre dignité soit respectée par les autorités : proclamons notre mépris envers ceux qui ne la respectent pas !

Amenons nos concitoyens à prendre conscience des dangers courus par une population dirigée par des fous, de telle sorte que la désobéissance à leurs folies soit bientôt devenue pour nous tous une nécessité évidente.

Il ne s’agit pas tant d’instaurer un régime politique plutôt qu’un autre, que d’imposer à n’importe quel régime politique le respect de la morale et la raison.

Concrètement, l’un des meilleurs moyen de RÉSISTER À L’OPPRESSION est de se montrer SOLIDAIRES ENVERS LES VICTIMES.

Qu’il s’agisse d’un paysan réduit à la misère à cause de la politique, qu’il s’agisse d’un petit entrepreneur ruiné par le RSI que l’on accuse souvent d’être une mafia, qu’il s’agisse d’une personne âgée jetée à la rue parce que sa pension ne lui permet plus de payer son loyer, qu’il s’agisse d’une famille brisée par les placements abusifs et ruinée par la perte de son travail, qu’il s’agisse d’une maman privée injustement de son petit garçon, la solidarité à l’égard de quelques-uns est un bon moyen de combattre l’oppression envers tous.

Faites connaître les affaires des victimes, contactez les autorités pour protester contre certaines injustices, apportez aux victimes une aide matérielle ou morale, mettez vos compétences professionnelles au service de toute bonne cause : au fond, il s’agit d’un effort général de tout être humain pour créer une société meilleure fondée sur L’AMOUR et sur la JUSTICE.

La justice ? Pas celle des hommes ! Nous vous vous parlons ici de ce sentiment complémentaire avec l’Amour, et qui est la projection dans notre âme, d’un attribut de Dieu.

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LA CHANSON POUR LEEROY : elle a été écrite par Jean-Michel Bessou.

Il la chante en s’accompagnant à la guitare, et vous pouvez l’écouter en cliquant sur le lien suivant :

Chanson pour Leeroy :

https://1drv.ms/u/s!AuSJmqmCGJiKiAWl5rGF07UPFHCf